De la clandestinité à l’officialisation
Au début des années 1970, j’ai protégé la présence clandestine, à l’hôpital, d’une chatte avec sa portée de chatons. Puis vers 1980, il fut possible d’introduire officiellement un chat en gérontopsychiatrie. Plus tard, j’ai dirigé un Ehpad et un réseau de domiciles collectifs pour malades d’Alzheimer (à un stade avancé) avec la présence de chats et de chiens qui ont entrainé plusieurs types de réactions. Les chats furent toujours appréciés, mais ont donné lieu à des rivalités selon qu’ils allaient plutôt vers une personne que vers une autre.
Les chiens accompagnant des visiteurs ou des professionnels ont toujours été appréciés, avec un effet mobilisateur. C’est ainsi que dans le cadre d’une recherche, une étudiante disait à des malades d’Alzheimer : « Voulez-vous, s'il vous plaît, tenir la laisse de mon chien cinq minu
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