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Un recours insuffisant aux interprètes professionnels en langue des signes

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Quatre ans après la promulgation de la loi handicap, et malgré la publication en juin dernier des décrets d'application relatifs à l'enseignement de la langue des signes dans les écoles relevant du ministère de l'Education nationale, "les pouvoirs publics font encore bien trop peu souvent appel à des interprètes professionnels", déplore l'Association des interprètes en langue des signes (AFILS)."Il existe actuellement en France près de 300 interprètes diplômés", indique en effet l'AFILS dans un communiqué publié à l'occasion du colloque qu'elle a organisé fin octobre à Paris, pour son 30e anniversaire, en soulignant que ce métier s'est structuré au cours des 30 dernières années pour prétendre à un bon niveau de professionnalisation.Un interprète professionnel en LSF, "formé et titulaire d'un diplôme", doit ainsi respecter "des règles éthiques indispensables à la bonne pratique de la profession", poursuit l'association qui insiste en assurant qu'"être bilingue, connaître - même bien - la langue des signes ne suffit pas pour être un interprète professionnel".
Former au moins 1 000 interprètes en 10 ans
"Une erreur d'interprétation peut avoir des conséquences très graves, en cas de dialogue…
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