Un rapport sénatorial émet des propositions pour améliorer le fonctionnement des MDPH
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Publié le : Dernière Mise à jour : 05.10.2017Par : A.S.Lecture : 3 min.
L'organisation actuelle des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) présente "deux inconvénients majeurs : l'instabilité des personnels et des moyens financiers, à corriger rapidement", soulignent le sénateur (UMP) des Pyrénées-Orientales Paul Blanc et son homologue socialiste des Pyrénées-Atlantiques Annie Jarraud-Vergnolles, dans un rapport d'information du Sénat rendu public mercredi 1er juillet.Les MDPH sont certes "sur la bonne voie", estiment les deux élus dans ce bilan, réalisé quatre ans après le vote de la loi "handicap" du 11 février 2005 qui a créé ces nouvelles structures, juridiquement constituées au 1er janvier 2006 - sous la forme de groupements d'intérêt public (GIP), placés sous la tutelle administrative et financière des conseils généraux - et opérationnelles depuis 2007 sur l'ensemble du territoire français."L'Etat, le conseil général et les organismes locaux d'assurance maladie et d'allocations familiales en sont membres de droit, mais d'autres personnes morales peuvent y prendre part", rappellent d'ailleurs les rapporteurs de la commission des affaires sociales du Sénat.Cette organisation permettait de concilier plusieurs objectifs, en l'occurrence…
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