Publié le : Par : Propos recueillis par Laurence UbrichLecture : 7 min.
"Nous pensons qu’il est indispensable que des professionnels du milieu ordinaire viennent aussi découvrir les Esat pour avoir une meilleure connaissance, une meilleure appréhension du handicap et de la compensation," estime Pauline Payrastre (à droite).
[SUR QUOI TRAVAILLEZ-VOUS?] Conseillères techniques au Creai de Bourgogne-Franche-Comté, Lucile Agénor et Pauline Payrastre ont cherché à comprendre auprès d’anciens travailleurs en Esat, aujourd’hui sortis du milieu protégé, ce que ce changement avait eu comme répercussions en termes de sociabilité.
Conseillères techniques au Creai de Bourgogne-Franche-Comté, Lucile Agénor et Pauline Payrastre ont cherché à comprendre auprès d’anciens travailleurs en Esat, aujourd’hui sortis du milieu protégé, ce que ce changement avait eu comme répercussions en termes de sociabilité.
A travers des entretiens avec une dizaine de personnes en situation de handicap, passées d’un monde institutionnel au droit commun, Lucile Agénor et Pauline Payrastre (du Centre régional d’études, d’actions et d’informations en faveur des personnes en situation de vulnérabilité de BFC) ont analysé les mécanismes entravant ou favorisant leur épanouissement hors les murs.
Quels sont les questionnements à l’origine de votre étude ?
Lucile Agénor : Nous nous sommes demandées quelles é
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