Une instruction relative à la prise en charge des mineurs à leur retour des zones de combat irako-syriennes, adressée aux préfets, recteurs d’académie et directeurs d’Agences régionales de santé (ARS) a été publiée le 6 mars. Elle vise à poser le cadre relatif à leur prise en charge : examen médical, scolarisation, suivi psychologique et psychiatrique.
Il resterait environ 700 ressortissants ou résidents français sur les zones de combat en Syrie et en Irak. S’il n’existe pas de chiffres précis concernant leurs enfants, des estimations portent leur nombre à 500, qu’ils aient été emmenés par leurs parents ou qu’ils soient nés sur place. Tous les mineurs, français ou étrangers, présents sur le territoire et qui ont été en Syrie et en Irak, sont concernés par une instruction publiée le mardi 6 mars.Le retour de ces enfants, qui ont pu assister à des exactions équivaut à une "situation exceptionnelle" pour l’Etat, rappelle…
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