Le collectif Pas de bébés à la consigne s’inquiète de la réforme des modes d’accueil du jeune enfant et d’une possible dégradation des conditions de travail des professionnels. Le point avec Julie Marty-Pichon, représentante du collectif et présidente de la FNEJE (Fédération nationale des éducateurs de jeunes enfants).
Actualités sociales hebdomadaires : À la lecture de la dernière mouture du projet de réforme des modes d’accueil, avez-vous le sentiment d’avoir été entendue ?
Julie Marty-Pichon : On a été écoutés, mais pas entendus ! Les textes qui nous ont été soumis ne reprennent aucune proposition que nous avons faites. Certaines sont même pires que ce que nous avions présagées. Malgré quelques avancées, en particulier en matière de pilotage (gouvernance territoriale, introduction de la charte nationale d’accueil…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?