Publié le : Dernière Mise à jour : 12.04.2021Par : LISIANE FRICOTTÉLecture : 4 min.
La notion de « répit » s’est construite historiquement autour de :la possibilité pour l’entourage de recourir à l’accueil temporaire ;la mise en œuvre du plan « Alzheimer 2008-2012 », qui avait prévu au profit de chaque territoire une palette diversifiée de dispositifs de répit correspondant aux besoins de malades et aux attentes des aidants.Avec la loi n° 2015-1776 du 28 décembre 2015, des conditions et possibilités d’indemnisation sont prises en compte dans le plan d’aide établi pour le versement de l’APA.La mise en œuvre de la faculté de répit suppose :que l’aidant le sollicite et, par conséquent, qu’il soit en mesure d’analyser ses symptômes d’épuisement, ce qui n’est pas toujours le cas. Un des enjeux des actions de sensibilisation et de formation des professionnels est précisément de repérer les symptômes de l’épuisement : démotivation (sentiment de ne plus pouvoir faire face à la maladie qui conduit au stress, à l’irritabilité) ; une fragilité émotionnelle, que l’aide soit à domicile ou dans une structure ;que des solutions soient ouvertes, connues et acceptées des parties.Le financement d’actions d’accompagnement dédiées aux proches aidants repose essentiellement sur le fonds…
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