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« Un outil de transition pour sortir de l’économie informelle »

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En partenariat avec la Fondation des solidarités urbaines, l’association GRDR Migration-Citoyenneté-Développement a accompagné neuf femmes, vendeuses à la sauvette à Grigny (Essonne), dans un projet d’entrepreneuriat collectif. L’association, née de l’aventure Les Mamas de Grigny, a fait l’objet d’une recherche-action, qui vise à dupliquer le modèle.

Jonathan Stebig, directeur des opérations GRDR France-Europe, à l’origine du projet Défi (Démarche pour l’engagement des femmes immigrées) et Agnès El Majeri, directrice de la Fondation des solidarités urbaines, expliquent comment Les Mamas de Grigny, dans l’Essonne, sont passées d’une économie informelle à un entrepreneuriat collectif.

Comment est né ce projet ?

Jonathan Stebig : C’est la ville de Grigny qui nous a interpellés pour apporter des solutions innovantes à une problématique repérée sur son territoire. Elle souhaitait répondre, autrement que par la répression, à la présence de vendeuses et vendeurs ambulants qui travaillent de manière non déclarée sur le parvis de la gare du RER. En France, 5 % à 10 % du PIB est issu de l’économie informelle. On

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