1 L’aide sociale à l’enfance (ASE) est à la peine. Pour autant, elle n’est pas responsable de tous les maux, estime Jacques Trémintin : « On critique tantôt sa toute-puissance, tantôt son impuissance. On dénonce ses intrusions dans l’intimité des familles ou, au contraire, ses hésitations à s’y introduire (…). Au final, quoi qu’elle fasse, elle sera toujours stigmatisée pour en faire trop ou pas assez. » Fort de son expérience, cet assistant socio-éducatif référent dans un service de protection de l’enfance pendant près de vingt-huit ans a voulu remettre les pendules à l’heure, trier le vrai du faux, les critiques légitimes et les accusations injustifiées… Ni procès, ni défense de l’institution, plutôt l’éclairage d’un professionnel engagé.
2 Forme rarement utilisée dans le secteur bien qu’efficace, l’ouvrage balaie cent réponses à des idées reçues. Au programme, les familles d’accueil et l’argent, les enfants placés coupés de leurs parents, les foyers lieux de violences, les jeunes de plus en plus durs, les personnels non formés, les placements considérés comme abusifs, les anciens de l’ASE futurs sans domici
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