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« Le gros frein reste le manque d’accessibilité »

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A l’heure où l’offre de vacances adaptées s’est structurée et diversifiée, les questions d’accessibilité et de financement des séjours demeurent les deux freins majeurs constatés sur le terrain. Explications avec Frédéric Reichhart, professeur en sociologie à l’Institut national supérieur de formation et de recherche sur l’éducation inclusive (Insei).
Séjours de rupture, vacances adaptées, transferts… Toutes ces appellations disent-elles la même chose ?

Au siècle dernier, il était fréquent pour les établissements d’organiser un déplacement de quelques jours pour les usagers, souvent à proximité géographique. C’est ce que l’on appelait les « transferts d’établissements » ou « séjours institutionnels », qui permettaient aux personnes de profiter de quelques jours de vacances. Cette modalité qui demandait une logistique importante et une forte gestion du personnel s’inscrivait dans une logique éducative. Bien qu’à cette époque-là on ne parlait pas encore de projets individuels, ces séjours étaient instrumentalisés au profit de finalités diverses comme la socialisation ou l’autonomie des publics. Pro

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