Vous ne le savez peut-être pas, mais les Jeux paralympiques se poursuivent ! Les athlètes du quotidien ne passeront toutefois pas à la télé. Les épreuves sont pourtant spectaculaires, c’est dommage : franchissements de trottoirs, montées impossibles dans les bus, accès compliqués à des services, céci-traversées de rues…
La « parenthèse enchantée des jeux » a donné à voir un pays soucieux de la question du handicap. Le tableau était idyllique. J’avoue m’être laissé prendre à cette ambiance angélique.
J’ai admiré ce nageur brésilien sans bras, Gabriel Dos Santos Araujo, qui a réalisé des performances hallucinantes en nageant comme un dauphin, quand bien même certains esprits grincheux relativisent cet exploit en disant qu’il n’a justement pas de mérite puisqu’un dauphin, ça n’a pas de bras.
J’ai découvert avec enthousiasme ce sport qu’est la boccia, dans lequel a performé notre française Aurélie Aubert, alors que je croyais que c’était une spécialité culinaire de Toscane.
J’ai adoré l’idée de voir des cyclistes avec des jambes faites du même matériau que leurs vélos. La technologie est dingue. Ça donne tellement d
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