Avant la crise sanitaire, nous sentions déjà que la situation se compliquait pour nos employés. De nombreux signes attestent de leur précarité financière. Une quarantaine d’entre eux demande régulièrement des acomptes sur salaires. Certains font aussi l’objet de saisies administratives à tiers détenteur, et parfois de manière répétée. On observe aussi des problèmes de surendettement, révélés par le cabinet d’assistantes sociales avec lequel nous travaillons depuis plusieurs années pour accompagner les salariés en difficulté. De plus en plus de salariés décident d’habiter dans l’Oise, où la pression immobilière est moins f
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