A propos du suicide de Lily le 25 janvier dans un hôtel du Puy-de-Dôme, la députée Perrine Goulet s’est interrogée en ouverture d’une table ronde de la délégation aux droits de l’enfant, à l’Assemblée nationale : « On ne peut pas dire à des parents qu’ils sont défaillants et proposer une autre solution défaillante en échange. A un moment donné, il y a eu un raté » (Le Monde, 12 février 2024).
Malgré le drame, si tant est que l’on peut aller dans l’ironie, disons-le d’un trait, trivialement : « Cela ne se peut pas ! » En effet, aujourd’hui, les établissements de la protection de l’enfance n’ont jamais été autant encadrés par les pouvoirs publics en matière de bientraitance. Procédures, règles et dispositions légales abondent
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