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« La peur risque de s’installer »

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Il faut distinguer les lieux privatifs des lieux de services généraux. La position ne peut pas être la même. Dans les parties communes comme les couloirs, les caméras peuvent être intéressantes pour la sécurité des résidents, notamment la nuit. Concernant les chambres, selon la Cnil, c’est non par principe, sauf s’il y a une enquête pour des cas de maltraitances qui n’a pas été solutionnée. Je resterai dans cette ligne-là, pour deux raisons : le respect de l’intimité de la personne âgée, mais aussi parce que la chambre est un lieu de travail. On ne peut pas filmer un salarié en permanence, même avec son autorisation. Il faut faire attention à ne pas devenir un lieu de « flicage » pour tout le monde. Ce qui pose un vrai problème, lorsque des familles installent des caméras à notre insu.

Une double problématique

Que cherche-t-on finalement ? Garantir la sécurité du résident ou prouver une suspicion de maltraitance ? Dans le premier cas, comment se pose la sécurité d’un résident en chambre ? A 90 %, c’est la chute. Dans les Ehpad aujourd’hui, il n’est pas possible d’avoir un professionnel pour une personne âgée. Lorsqu’un ré

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