Je suis entrée dans l’association en 2002 comme juriste pour accompagner les victimes d’infractions pénales. En 2020, l’association s’est divisée en deux pôles, un pour les victimes, un pour les auteurs, dont je suis aujourd’hui responsable. Me former à la justice restaurative était une manière de boucler la boucle. La justice restaurative s’ajoute à mes missions classiques mais elle apporte un plus à mon métier. C’est un changement de posture, quand nous avons l’habitude d’être directifs, autoritaires. Je pense que nous devons la mettre dans notre culture, même si le monde judiciaire en a encore peur.
Nous nous en tenons aux attentes des auteurs et des victimes. Pendant l
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