Il date du matin même. Un poème intitulé Lettre à ma mère. Trois pages de vers fraîchement lancées sur les réseaux sociaux, comme un puissant cri d’amour. « … Je ne suis rien sans la douceur de ton regard/ Je ne suis rien sans les éclats de ton sourire. […] Mère, Je suis désorienté sans les belles métaphores/ Je ne dors pas sous l’hivernage occidental… » Au détour d’une question, pour donner vie à ses propos, Falmarès s’est arrêté pour fouiller dans son portable et nous montrer son tout dernier texte, empreint de manque et de nostalgie. « Je l’ai écrit car c’est mon anniversaire aujourd’hui. Je viens d’avoir 22 ans », nous éclaire le jeune homme.
Mais les occasions n’ont pas besoin d’être si symboliques pour que le poète prenne
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