« Le groupe d’entraide mutuelle [GEM] est un équilibre fragile nécessitant des administrateurs qui s’engagent par plaisir, des salariés qui connaissent leur rôle et savent se rendre dispensables, une structure d’aide à la gestion qui ne prend pas trop de place et accompagne un collectif dans la prise des décisions et une marraine présente. Dès qu’on enlève un élément de cette recette, elle n’est plus bonne. » En énonçant les ingrédients nécessaires, selon elle, à la réussite de ce modèle d’organisation, Clémence Bannier-Esnault, coordinatrice du GEM Le Nouveau Cap, à Nantes, synthétise toute la problématique de ces lieux associatifs en principe autogérés par leurs adhérents, dont les modes de fonctionnement sont aussi pluriels que les person
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