Châteauroux ? Elle esquisse un sourire entendu : « Il y a peut-être un peu moins de monde qu’à Paris, mais j’ai tout ce que j’avais là-bas. » Tout, l’ambiance en moins. Celle, notamment, de la communauté africaine qu’elle avait l’habitude de côtoyer, elle qui évoque ses origines ivoiriennes. « Il y avait un côté chaleureux qui peut me manquer pour le moment », reconnaît-elle. Qu’à cela ne tienne. Fraîchement débarquée avec ses quatre enfants dans la préfecture de l’Indre, Maimouna Karama entend aller de l’avant. Ses priorités : son travail et le bien-être de ses enfants. Après avoir œuvré dans les cosmétiques, elle a signé un contrat de professionnalisation, en tant qu’assistante de vie aux famill
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