Un « vrai enjeu », mais « pas assez de budgets ». Directrice générale d’En droits d’enfance, association du Val-d’Oise qui gère une maison d’enfants à caractère social (Mecs), un service d’action éducative en milieu ouvert (AEMO) ainsi qu’un service d’investigation éducative et de réparation pénale (SIRP), Cathy Campos ne cache pas sa frustration sur le sujet de la formation professionnelle. Pour un peu plus d’une centaine de salariés, son budget annuel, en 2021, dépassait à peine les 20 000 €. Entre les formations obligatoires exigées par le code du travail relatives à la sécurité au travail ou aux élus du CSE, celles réclamées par les professionnels et celles qui s’imposent par l’évolution des publics ou des réglementations, la facture monte vite. Contrainte d’optimiser les coûts, la responsable r
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