Englobés dans le super ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, le logement et la politique de la Ville sont les parents pauvres du gouvernement « Borne 1 » et de ce début de second quinquennat « Macron ». Une absence de succession claire à des portefeuilles pourtant incontournables, tant le sans-abrisme et le mal-logement restent des phénomènes aussi aigus que structurels, dans une société où pauvreté et précarité augmentent. Alors que le Président marcheur appelait en 2017 à un « choc de l’offre », cinq ans après son arrivée à l’Elysée, on enregistre une baisse patente du nombre de nouveaux logements. Quant à son ambitieux plan baptisé « Logement d’abord », il a manqu
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