Voilà vingt ans que la loi n° 2002-2, vouée à « replacer l’usager au cœur du dispositif », a été promulguée. Dans sa suite, les impératifs légaux et administratifs se sont multipliés pour les travailleurs sociaux : document individuel de prise en charge (DIPC), projet pour l’enfant (PPE), conseils de la vie sociale (CVS). Les lois de 2007 puis de 2016 réformant la protection de l’enfance affichaient également cette ambition commune de favoriser le pouvoir d’agir des enfants durant leur parcours au sein de l’aide sociale à l’enfance (ASE).
Mais ces multiples outils imposés aux travailleurs sociaux parviennent-ils à garantir la p
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