Cette position date du virage des années 1990-2000. Le contexte était celui d’une hostilité des Etats européens, où l’on a vu les frontières extérieures de l’Union se fermer tandis que celles de l’intérieur s’ouvraient. En témoignent divers accords internationaux. Nombre d’associations et de citoyens ont alors lancé des initiatives en réponse à ce projet sécuritaire. En Calabre, par exemple. La France a été gagnée au début des années 2010, un phénomène soutenu à la fois par des associations et par la volonté de l’Etat de dispatcher les populations, pour minimiser l’impression d’une présence importante dans certaines villes, en particulier frontal
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