« Pas envie d’être un cobaye ! » L’expression revient à Justine(1), aide-soignante de nuit en résidence services seniors dans le Nord. Mais nombre de soignants avancent des craintes identiques pour leur santé pour justifier leur refus de se plier à l’obligation vaccinale. Quitte à se mettre en difficulté. Le contrat de Justine a été suspendu le 20 septembre, au terme de ses congés payés. Un cas unique dans son service, qui compte six salariés. « Mon collègue a cédé quelques jours avant l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale. Il vient donc de recevoir sa première dose. »
En plus de se montrer inquiète pour sa santé, Justine déplore un manque de communication et d’informations de la part de sa hiérarchie. « Nous avons reçu une simple no
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