Elles s’inscrivent dans la philosophie globale du rapport « Piveteau » de 2014, intitulé « Zéro sans solution », que l’on pourrait résumer ainsi : « pas de places mais des solutions ». L’idée s’avère très attirante mais ne veut rien dire du tout. Il est impossible de généraliser les besoins et les réponses à mettre en place pour des enfants, des jeunes et des adultes handicapés. Quand il n’y aura pas de solutions pour la personne, on bâtira un plan d’accompagnement et on proposera des réponses modulaires, partielles, de bric et de broc. On lui trouvera trois heures dans une institution, quatre dans un accueil en foyer de jour, deux ou trois séances chez le
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