« Les intervenants extérieurs apportent tellement : ils remettent en question nos pratiques, insufflent de la vie à l’établissement et nous permettent de ne pas rester en vase clos, même pour les résidents qui ne sortent pas. » Pour Oriane Thomassin, directrice de la Maison Yersin à Paris, les solliciter n’est pas un luxe, c’est une nécessité, qu’ils soient socio-esthéticienne, sophrologue, art-thérapeute, professeur de gymnastique douce ou encore de tai-chi. Dans cet établissement des Petits Frères des pauvres, composé d’une pension de famille, d’une petite unité de vie et d’une résidence autonomie, les prestataires sont aussi variés que la soixantaine de personnes accueillies, âgées de 50 à 98 ans : si elles ont
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