« Un phénomène qui concerne 7 000 à 10 000 adolescents en France. » Derrière ces chiffres officiels se cache en réalité une grande difficulté à mesurer l’ampleur du problème. Car la prostitution des mineurs, touchant des jeunes de tous horizons qui présentent divers facteurs de vulnérabilités et seraient de plus en plus jeunes, passe à l’heure actuelle régulièrement sous les radars de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Et peu d’études sur le sujet permettent d’objectiver le nombre de jeunes concernés. Alors, face à cette difficulté de récolter des données fiables, comment déployer une stratégie efficace de prévention ? Si de nombreux professionnels lancent désormais l’alerte, observant une banalisation et une transformation du phénomène, favorisées
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