Voilà l’une des explications d’un « paradoxe » observé par Guillaume Fritschy, directeur de l’Uriopss (union régionale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux) Occitanie : les jeunes vivant en milieu rural présentent souvent un meilleur niveau scolaire au collège que leurs homologues urbains, mais poursuivent pourtant de moins en moins de longues études. « Les problèmes de mobilité font obstacle à l’insertion professionnelle, détaille-t-il. L’accès aux soins, à la culture, s’avère aussi complexe. Bref, tout se révèle plus difficile en milieu rural. »
Or, selon une enquête nationale sur les ressources des jeunes menée en 2014 par la Drees (direction de la recherche, des ét
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