Le personnel travaillant au contact de demandeurs d’asile ou de mineurs isolés peut se trouver confronté à des problématiques liées à la santé mentale des individus qu’ils accompagnent. « C’est très rare que l’on rencontre des gens en crise. Mais de plus en plus de personnes présentent des troubles psychiques », note Maud Jan, cheffe de service d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) à Nantes, géré par Coallia. Les responsables de l’unité territoriale (UT) dont elle dépend (regroupant l’Ille-et-Vilaine, la Loire-Atlantique et le Morbihan) ont constaté les mêmes remontées de la part des professionnels de terrain : « On a senti un réel besoin d’accompagnement et de formation sur ce sujet », souligne Aurélien Favrais, chef de projet auprès du directeur de l’UT.
Par l’intermédiaire de la mairie de
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