« De nombreuses personnes ont actuellement besoin d’aide car elles ne gèrent plus leur consommation. Les effets des confinements successifs sont avérés », affirme Nathalie Latour, déléguée générale de la Fédération Addiction. Les professionnels craignaient une explosion des consommations lors du premier confinement. En réalité, c’est seulement depuis trois mois que les files actives des associations augmentent considérablement.
Télétravailleurs, demandeurs d’emploi, étudiants, adolescents, etc., les profils des usagers des centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (Csapa) et des centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues (Caarud) sont nombreux. Les chiffres ne sont pas encor
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