« Les associations du secteur médico-social intervenaient jusque tout récemment dans un cadre stratégique relativement figé, déterminé par une relation aux donneurs d’ordre assez fermée, des modes de tarification relativement stricts et une offre prédéterminée et pré-quantifiée. Elles proposaient un nombre de places défini par type d’établissement, chacune assortie d’un prix de journée arrêté par l’autorité de tarification.
Ce mode de fonctionnement permettait aux tutelles d’exercer une maîtrise sur les prestations servies et les budgets consentis. Les principaux enjeux pour les opérateurs étaient d’étendre leur champ d’intervention pour servir davantage d’usagers ou couvrir de nouveaux
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