Un utilitaire, des pots de peinture, des pinceaux… Il n’en faut guère plus pour lancer les travaux, place de Bretagne, à Nantes. A la manœuvre, quatre jeunes, un éducateur et un stagiaire, étudiant en travail social. Ensemble, pendant trois jours et à raison de quatre heures quotidiennes, ils vont repeindre les potelets qui bordent les trottoirs du quartier. Commande de Nantes Métropole, le chantier s’inscrit dans le cadre du programme Tapaj (travail alternatif payé à la journée) porté par l’association Oppelia, spécialisée en addictologie. Accessible sans qualification, il s’adresse à des jeunes de 16 à 25 ans. Tous ont en commun de vivre des situations de grande précarité et des problématiques de consommation, voire d’addiction. Mais chacune de leur histoire est singulière
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