« Comment ai-je pu ne pas voir qu’il allait mourir ? » Voilà une de ces questions qui entretiennent un sentiment de culpabilité chez nombre de soignants, selon Samir Salman, psychiatre puis médecin généraliste, aujourd’hui intervenant à l’association strasbourgeoise Adèle de Glaubitz, au sein de sa formation « Approche de la mort et gestion du deuil ». « La mort fait peur, parce qu’elle comporte des résonnances personnelles et parce que l’on ne sait pas toujours comment réaliser ces annonces à des résidents, surtout lorsqu’ils sont atteints de déficiences mentales », complète Sophie Dupin-Barrère, psychologue clinicienne et responsable d’APF Formation Nouvelle-Aquitaine et Occitanie. Tous les deux s’accordent à le dire�
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