« Dès le début de la crise sanitaire et le premier confinement, nous avons salué le dévouement de ceux que les médias et le grand public ont appelés les “héros du quotidien”, à commencer par les soignants. Dans un contexte extraordinaire, bien des métiers ordinaires ont ainsi été soudainement reconnus, mis en lumière et parfois même applaudis. Et nous avons commencé à “rêver d’un autre monde”. Notre société n’oublierait plus ces gens qui – sans jamais avoir recherché un statut héroïque – prennent tout simplement leur part à la vie de la cité. Elle saurait valoriser la place de chacun pour sa contribution, aussi modeste mais essentielle soit-elle.
Dans l’ombre du secteur sanitaire, les structures sociales et médico-sociales non médicalisées ont été bien moins considérées. Il y avait pourtant là aussi une foule de tra
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