« En mars dernier, le confinement a contraint les professionnels de proximité à adapter les mesures l’accompagnement des publics ou à s’en affranchir pour sauvegarder ce qui semblait essentiel à leurs missions. Ils ont pu se sentir abandonnés dans un contexte anxiogène, et penser que les “cadres”, considérés comme absents puisqu’en télétravail, n’étaient pas nécessaires au bon fonctionnement de l’établissement. Les directeurs et chefs de service, eux, ont pu avoir le sentiment que leurs contraintes n’ont pas été comprises par les équipes. Ils ont dû gérer une position d’interface entre l’administration qui diffusait quasiment au jour le jour des instructions, parfois contradictoires, et les professionnels sur le
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