« C’est un grand soulagement de savoir que nous allons maintenir l’activité », confie Anne-Sophie Jonquet, cheffe de service pour l’action éducative en milieu ouvert (Aemo) de l’association Olga-Spitzer 94. Alors que le pays entre dans une deuxième phase de confinement, un décret publié le 30 octobre permet aux acteurs de la protection de l’enfance de bénéficier de dérogations pour continuer à exercer. Les cellules de recueil, de traitement et d’évaluation des informations préoccupantes (Crip) doivent ainsi fonctionner « normalement », les interventions à domicile sont confirmées et, surtout, les écoles, collèges et lycées ainsi que les structures pour enfants handicapés continuent d’accueillir les jeunes. « Cela nous rassure car la rupture pédagogique a été une réalité pour beaucoup d’enfants. Le maintien des écoles est essentiel p
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