L’hôpital Vall d’Hebron à Barcelone, en collaboration avec le Centre de thérapie assistée par des chiens (CTAC) et la Fondation Probitas, dévoile une étude pour vanter l’efficacité de l’interaction avec des animaux dans le traitement du syndrome d’alcoolisation fœtale (SAF). Outre les retards de croissance in utero et les dysmorphies faciales, le SAF peut provoquer des troubles cognitifs et comportementaux. Les problèmes cérébraux entraînent de possibles déficiences intellectuelles, des retards d’apprentissage et de développement, des problèmes d’attention et de traitement de l’information, des difficultés de raisonnement et de résolution des problèmes, de l’hyperactivité ou des sautes d’humeur.
En 2018, l’hôpital espagnol a été la première structure à tenter cette expérience, en faisant interagir les patients avec les animaux dans le cadre de thérapies dirigées par un psychologue, et en présence d’une
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?