« ON ADAPTE REGULIEREMENT LA LOI SANS SE SOUCIER DE SA MISE EN œUVRE. L’Etat est pointé dans ses limites. Il n’assume pas ses missions propres et ne parvient pas à impulser les évolutions nécessaires faute d’influence sur les départements et de références données aux professionnels. Les départements n’échappent pas à la critique, se voient accusés pour certains de ne pas faire de l’enfance une priorité. La compétence des élus pour suivre un dossier aussi délicat humainement et techniquement est niée.
On imagine changer les règles du jeu quand il suffirait que chacun tienne sa place et toute sa place. Ainsi on n’hésite pas à remettre en cause la décentralisation intervenue en 1982-1984, qui fait du département le chef de
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?