Il est né d’une volonté commune de reconnaître les métiers du lien. Ils n’ont, à l’heure actuelle, aucune attractivité alors que ce sont des métiers avec une vraie technicité, une réelle connaissance… Nous sommes partis de deux points de vue opposés pour converger sur la même cause. François Ruffin parle de « lutte des classes », d’« exploitation des salariés ». Factuellement, il a raison. Ce sont des métiers mal payés, avec des horaires démentiels… Nous voulons donc ancrer dans la sémantique la notion de « métiers du lien » pour dire que ce sont les métiers de demain. Il faut aussi souligner que notre axe de travail est clairement du côté des praticiens du métier, des auxiliaires de vie, des assis
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