Ce besoin de répit dessine en creux une forme d’inégalité sociétale majeure. N’importe qui peut partir en vacances. On en a le droit. Mais un aidant ne peut pas en raison de la lourdeur de l’accompagnement prodigué. Régulièrement, un aidant sacrifie ses activités sociales, et parfois professionnelles, pour s’occuper de son proche. Il ne sort plus, se renferme. Il se coupe du monde. Sa santé en est atteinte. Il faut donc les identifier et anticiper le moment où ils vont craquer pour ne pas avoir à gérer un éventuel burn-out.
On peut trouver des formats adaptés et faire du sur-mesure. Beaucoup de choses formidables existent déjà. Cela peut être un accueil de jour, un accueil de nuit, une prise en charge à domicile, en établissement, le week-end, sur plusieurs jours, pendant des vacances. Cela peut aussi être du
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