Elle a été un miroir grossissant. La crise a exacerbé un certain nombre d’éléments. Elle a mis sur le devant le sujet des aînés et des professionnels qui les accompagnent. Le grand âge s’est retrouvé, encore plus qu’avant, sous les projecteurs. Cette pandémie a aussi souligné un manque d’anticipation du grand âge, du vieillissement de notre population. La crise a confirmé les problèmes que le secteur pouvait rencontrer en raison du manque d’attractivité, de sa sous-valorisation. Dans les zones les plus touchées, cela a ainsi été extrêmement compliqué de trouver des renforts. Mais cette période
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