Les prisons françaises ont vu sortir 13 500 détenus de leurs murs durant le confinement. « Quand il y a moins de monde, la vie se passe mieux, pour les prisonniers comme pour le personnel », expose Julien Magnier, secrétaire national CGT insertion et probation et conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation à la maison d’arrêt d’Amiens.
Un désengorgement salué par les professionnels de l’accompagnement : la crise aura montré qu’il est « possible de baisser la surpopulation carcérale. C’est une décision politique, c’est matériellement possible », insiste Justine Baranger, cheffe de service des points d’accès aux droits pénitentiaires du Casp-Arapej (Centre d’action sociale protestant – Association réflexion action prison
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