Le 9 avril, le ministère de la Justice annonçait près de 8 000 libérations de détenus en un mois, en réponse à la crise sanitaire dans les prisons surpeuplées. « Ce n’est pas rien. Mais des questions se posent : dans quel environnement sortent ces personnes ? Vers qui peuvent-elles se tourner ? Et comment vivre libre dans ce confinement ? », expose Ségolène Blois, intervenante sociale au sein de l’association Permis de Construire.
Depuis le 16 avril, cette structure accompagnant des personnes sortant de prison a mis en place une cellule de soutien psychologique et social. Cette ligne téléphonique, étendue à tout le territoire national, est une première : «
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