Depuis une dizaine de jours, les autorités espagnoles laissent entrevoir des signaux positifs. Le nombre de décès emprunte la trajectoire d’un « plateau descendant » et les nouveaux cas recensés sont en baisse. C’est le résultat des strictes mesures de confinement débutées le 14 mars dernier avec l’activation de l’état d’alerte. Lundi 13 avril, ces mesures ont été légèrement assouplies : après deux semaines d’arrêt complet, les travailleurs des activités jugées « non essentielles » ont pu retourner sur leur lieu de travail, lorsque le télétravail n’est pas possible.
Les travailleurs sociaux espagnols n’ont, quant à eux, jamais arrêté. Ou presque. En effet, bien que leur activité soit définie comme essentielle, certains n’ont pu aller
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