LE 24 MARS DERNIER, 17 ORGANISMES LIÉS À LA PROTECTION DE L’ENFANCE ont envoyé une lettre ouverte à Emmanuel Macron. L’objectif de ces associations, conventions, fédérations, unions, groupes, groupements et autres carrefours ? « Alerter sur les risques de la pandémie dans ce secteur », comme le précise Nexem, l’un des signataires, qui représente plus de 10 000 établissements.
Dans cette missive, les organisations ont signalé que « […] les effets du confinement ont d’ores et déjà des répercussions importantes », en précisant que « les associations, pour la plupart, doivent néanmoins faire face et organiser la continuité de leur activité alors qu’une partie de leurs personnels, estimée aujourd’hui entre 25 et 40 %, a dû cesser son activité pour garder leurs enfants ou se sont mis en arrêt maladie ». Un courrier au contenu explicite qui faisait écho à la mise en place (la veille !) du dispositif d’aides à la garde d’enfants et à la scolarité des enfants des personnels de la protection de l’enfance.
Une avancée qui devrait en appeler d’autres, si l’on en juge
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