Une perte mensuelle d’un million d’euros. C’est ce que subissent, selon Serge Widawski, directeur d’APF Entreprises, les entreprises adaptées de l’association, du fait du confinement. « Notre activité plafonne à 15 % de notre rythme classique, alors que nous devons trouver des ressources pour améliorer les conditions de travail, recruter… »
Chaque année, APF Entreprises reverse 200 000 ou 300 000 € aux délégations de l’association, ses antennes locales qui apportent des services aux adhérents. La crise va donc se faire sentir sur le long terme et sur l’ensemble de la vie de l’association. « Les pertes seront colossales, prévoit aussi de son côté Didier Rambeaux, président d’Andicat, qui revendique 1 100 adhérents parmi les 1 400 Esat (établissements et services d’aide par le travail) existants, en très grande majorité fermés. De
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