Depuis les premières mesures de confinement et la mise à l’arrêt de la plupart des stages et des cours, des instituts de formation encouragent leurs étudiants en travail social à renforcer les établissements et services en manque de personnel face à la pandémie. Le 24 mars, la secrétaire d’Etat auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, Christelle Dubos, a défendu la constitution d’une « réserve sociale ». Les préfectures « font remonter les besoins des établissements et permettront de faire le lien avec les centres de formation », a-t-elle précisé dans un communiqué.
Le cadre juridique se traduit de manière hétérogène selon les régions. Le 20 mars, le préfet de région d’Auvergne-Rhône-Alpes a indiqué qu’il pouvait s’agir autant de bénévolat
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?