« Je suis confinée mais débordée ! », sourit la présidente de la Fédération nationale des patients en psychiatrie (Fnapsy) Claude Finkelstein. « Je suis envahie de mails et de messages sur les réseaux sociaux », renchérit Marie-Jeanne Richard, présidente de l’Union nationale des familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques (Unafam). L’isolement, l’angoisse, des prises en charge des troubles allégées… Avec le confinement, les personnes handicapées psychiques rencontrent des difficultés plus conséquentes encore que la population générale. Et leurs proches ou les associations qui les soutiennent habituellement se retrouvent, plus que jamais, en première ligne.
Ce d’autant plus que ces personnes, au jour où nous écrivons, ne sont pas, ou pas encore, considérées comme à risques vis-à-vis de la pandémie. Pour
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