« Les différents arrêtés, préfectoraux et autres étaient tout sauf clairs. Il nous a fallu interpréter. C’était anxiogène, parcellaire et excessif. » Voilà le sentiment qu’a eu Yann Zenatti, directeur de l’Adapei (Association départementale de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis) du Morbihan, l’un des premiers territoires atteints de plein fouet par le coronavirus, lorsque le département a fait l’objet, un lundi matin, de communications de crise. Résultat : les deux premiers jours, des mesures contradictoires ont pu être prises d’un établissement à l’autre, tel foyer renvoyant ses résidents dans leurs familles, tel institut médico-éducatif accueillant les enfants, comme un lundi ordinaire.
Outre cette surabondance d’informations émanant de diverses sources, peu lis
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?