Le droit d’accès aux zones d’attente, conclu à partir de 1992 entre autorités et associations, autorise ces dernières à intervenir dans ces lieux situés dans les espaces frontaliers où sont maintenues des personnes étrangères. Il permet de « constater que les zones d’attente sont des zones de non-droit », fait valoir Alexandre Moreau, président de l’Anafé. Mais le responsable s’inquiète d’un recul de ce droit d’accès, « en particulier depuis ces trois ou quatre dernières années ». Refus de visites aux motifs que l’heure est « trop tardive » ou que l’association n’est « pas connue » ; refus d’accès aux registres notifiant les entrées et les sorties…
La première entrave reste la non-définition de certai
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