Quand les parents ne parviennent pas à donner à leur enfant la sécurité affective, psychologique, voire les soins de base et ce, de façon constante ; quand les réponses apportées demeurent dans l’ordre du toujours « provisoire », il est temps d’agir. Au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant. Ainsi pourrait se résumer l’enseignement majeur des différentes approches qui ont nourri la journée sur « le délaissement parental », organisée par l’Ecole de la protection de l’enfance et l’Action sociale le 14 janvier. Du point de vue psychologique d’abord : chacun sait que des attachements stables à des figures, si possible dotées d’empathie, sont nécessaires à la construction de la personne au cours de l’enfance en particulier.
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